- 13 février 2023
« Nous ne venons pas de nulle part, nos cantines populaires autogérées s’inscrivent dans une longue tradition de luttes et de résistances. Si la Commune libre de Paris a pu tenir 72 jours, c’est grâce aux cantinières. Il y avait bien sûr aussi des hommes, mais c’est essentiellement les femmes qui ont nourri les barricades. »
La plupart des femmes photographiées au camp de Satory à Versailles pendant la semaine sanglante étaient des cantinières, de celles que Louise Michel comptait sans hésiter parmi « ces braves au cœur tendre que Versailles appelait des bandits ».
A l’occasion du 150e anniversaire de la Commune de Paris, c’est elles que nous avons décidé de mettre à l’honneur, en rappelant leur importance vitale durant ces 72 jours et nuits de lutte, de débats, de barricades, de festins, d’utopies...
Brochure téléchargeable ici :